Humez !
Publié le 03 août 2025
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Sentez-moi ce parfum, presque indéfinissable
Que laisse sur ses pas, la femme idéale
Retenez l’impression, qu’elle en est ineffable
Qu’il n’existe rien, qui soit plus délectable.
Sentez-moi cette odeur, qui plane sur ces ruines
Où pourrissent ces corps, qui ont sauté sur des mines
Gravez bien l’impression, de ce qu’on abomine
Dans ce qu’elle renvoie, à nos peurs plus intimes.
Sentez-moi ce fumet, du rôti sur la broche
Ou sur le barbecue, dans ce jardin tout proche
Conservez l’impression, d’un appétit féroce
Du plaisir que l’on a, de manger à la noce.
Sentez-moi la sueur, de la peur sur la peau
Dans ces nuits de terreurs, où il n’y a de repos
Comprenez la moiteur, dans laquelle vous baignez
Quand l’esprit se remplit, de ce que vous craignez.
Sentez-moi cette essence, émise par la plante
Lorsque vous la froissez, comme cela vous chante
Inspirer bien à fond, pour goûter sa puissance
Qu’elle a de guérir, vos plus grandes souffrances.
Sentez-moi cette ambiance de cette fin de monde
Qui naît de tous ces faits dont l’info nous inonde
Imprégnez bien en vous l’idée nauséabonde
Que vous êtes après tout un joueur dans la ronde.
Que laisse sur ses pas, la femme idéale
Retenez l’impression, qu’elle en est ineffable
Qu’il n’existe rien, qui soit plus délectable.
Sentez-moi cette odeur, qui plane sur ces ruines
Où pourrissent ces corps, qui ont sauté sur des mines
Gravez bien l’impression, de ce qu’on abomine
Dans ce qu’elle renvoie, à nos peurs plus intimes.
Sentez-moi ce fumet, du rôti sur la broche
Ou sur le barbecue, dans ce jardin tout proche
Conservez l’impression, d’un appétit féroce
Du plaisir que l’on a, de manger à la noce.
Sentez-moi la sueur, de la peur sur la peau
Dans ces nuits de terreurs, où il n’y a de repos
Comprenez la moiteur, dans laquelle vous baignez
Quand l’esprit se remplit, de ce que vous craignez.
Sentez-moi cette essence, émise par la plante
Lorsque vous la froissez, comme cela vous chante
Inspirer bien à fond, pour goûter sa puissance
Qu’elle a de guérir, vos plus grandes souffrances.
Sentez-moi cette ambiance de cette fin de monde
Qui naît de tous ces faits dont l’info nous inonde
Imprégnez bien en vous l’idée nauséabonde
Que vous êtes après tout un joueur dans la ronde.

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