Hommage à Claude Vergnol dit Lauragael.
Publié le 03 août 2025
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Je me croyais poète mais lorsque je l’ai lu
Un grand coup d’arbalète, depuis je suis perdu
Comment lui tenir tête, tant je suis confondu
Ses vers sont une fête, quand les miens sont tordus.
Ses textes nous emportent dans une farandole
Quand les miens sont encore sur les bancs de l’école
Sur les siens on ressent le beau souffle d’Eole
Mais la glaise encore à mes vers bien trop colle.
Oh combien il épouse la moindre émotion
Au point qu’on en ressent l’intime vibration
Sa plume est un pinceau d’où naissent des tableaux
Si vivants qu’on oublie à quel point ils sont beaux.
On vogue avec lui sur des flots d’harmonie
On rêve grâce à lui à des peines enfouies
On pleure sur nos nuits, jamais on ne s’ennuie
A lire ses poèmes tant on est ébloui.
Je dépose à ses pieds quelques vers de ma prose
Sans moi les comparer à des bouquets de rose
Qu’il accepte l’hommage du piètre rimailleur
Qu’il reçoive ce gage qui vient du fond du coeur.
Un grand coup d’arbalète, depuis je suis perdu
Comment lui tenir tête, tant je suis confondu
Ses vers sont une fête, quand les miens sont tordus.
Ses textes nous emportent dans une farandole
Quand les miens sont encore sur les bancs de l’école
Sur les siens on ressent le beau souffle d’Eole
Mais la glaise encore à mes vers bien trop colle.
Oh combien il épouse la moindre émotion
Au point qu’on en ressent l’intime vibration
Sa plume est un pinceau d’où naissent des tableaux
Si vivants qu’on oublie à quel point ils sont beaux.
On vogue avec lui sur des flots d’harmonie
On rêve grâce à lui à des peines enfouies
On pleure sur nos nuits, jamais on ne s’ennuie
A lire ses poèmes tant on est ébloui.
Je dépose à ses pieds quelques vers de ma prose
Sans moi les comparer à des bouquets de rose
Qu’il accepte l’hommage du piètre rimailleur
Qu’il reçoive ce gage qui vient du fond du coeur.

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