Formule 1.

Publié le 03 août 2025 moins d'une minute de lecture 8 lecture
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Tu as volé la paix qui régnait dans mon cœur 
Avant que je connaisse tes charmes ravageurs.
Tu as rompu le calme qui imprégnait mes jours
Avant que je ne goûte à l’attrait de tes tours.

Tu n’as rien fait pourtant, rien de plus qu’une fleur 
Qui attire l’abeille par ses jolies couleurs.
Si nombreux ils étaient déjà aux alentours.
Tous les gars impatients de te dire bonjour..

Mais comment résister à l’appel de ton bord
Et rester insensible à tes courbes grand sport
Comme au moteur puissant qui ronronne au dedans.

Peut-être aurais-je droit de jouir de ton allant 
Et de rouler à fond de Paris à Sedan
Si je trouve les clefs et accède au volant.
Pierre Jean Boutet - Logo
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