Éphémères
Publié le 03 août 2025
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Une vague s’en vient mourir jusqu'à la plage
Elle s'étale, se retire, bientôt disparaît
Elle ne laisse alors derrière son passage
Que bulles éphémères, bris de bois flottés.
De même tu es venue un jour dans mon sillage
Tu m'as souri, tu m'as aimé, t'es envolée
Tu n'as laissé derrière toi qu'un beau carnage
Dans mon cœur ravagé, qui s'est mis à saigner.
Une brise de mer, souffle sur le rivage
Frémissent à peine, les feuilles des palmiers
Elle rafraîchit un peu, cette fin de journée
Puis s'en va légère comme un rêve enchanté.
Tu as posé ainsi ton souffle sur ma peau
De délicieux frissons tu y as déclenchés
Tu m'as lors rajeuni, en cette fin d'été
Et puis tu es partie sans me laisser un mot.
Il est dans nos vies de rares joies durables
Y passent surtout des moments agréables
Qui ne durent qu'un temps, celui d'une émotion
Ne demeurent de traces de leurs secrets frissons.
Elle s'étale, se retire, bientôt disparaît
Elle ne laisse alors derrière son passage
Que bulles éphémères, bris de bois flottés.
De même tu es venue un jour dans mon sillage
Tu m'as souri, tu m'as aimé, t'es envolée
Tu n'as laissé derrière toi qu'un beau carnage
Dans mon cœur ravagé, qui s'est mis à saigner.
Une brise de mer, souffle sur le rivage
Frémissent à peine, les feuilles des palmiers
Elle rafraîchit un peu, cette fin de journée
Puis s'en va légère comme un rêve enchanté.
Tu as posé ainsi ton souffle sur ma peau
De délicieux frissons tu y as déclenchés
Tu m'as lors rajeuni, en cette fin d'été
Et puis tu es partie sans me laisser un mot.
Il est dans nos vies de rares joies durables
Y passent surtout des moments agréables
Qui ne durent qu'un temps, celui d'une émotion
Ne demeurent de traces de leurs secrets frissons.

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