En sadressant à Guy et aux zinzins à travers lui Je sais que près de vous en secret assembléPar vos soins prévoyants leur nombre est redoublé
Publié le 03 août 2025
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« Je sais que près de vous en secret assemblé
Par vos soins prévoyants leur nombre est redoublé
Que plein d’amour pour vous, d’horreur pour « l’hallali »
Un serment solennel par avance les lie »
De ne jamais céder, un pouce de terrain
À tout pisse-vinaigre, ni aux esprits chagrins
De ne point accabler les autres de venin
Mais toujours pour le moins, de leur tendre la main.
« Mais quelque noble ardeur dont ils puissent brûler
Peuvent-ils de leur « guide »venger seuls la querelle ?
Pour un si grand ouvrage, est-ce assez de leur zèle ? »
Douteriez vous monsieur du talent des zinzins
De leur motivation à me prêter la main ?
Ils répondent présents chaque fois qu’il le faut
Et ne m’ont à présent, eux jamais fait défaut.
Doutez-vous que « l’ennemi », au premier bruit semé
N’environne le temple et n’en brise les portes ?
Suffira-t-il contre eux de « vos pauvres zinzins »
Qui n’ayant « quant à eux que d’innocentes mains »
Ne savent que gémir « et crier à la lune
Et n’ont jamais versé que l’encre de leurs plumes ? »
Nous n’avons d’ennemis, et pas plus que de temple
Juste un rassemblement qui je crois nous ressemble
Et si nous critiquons parfois quelques semblables
C’est pour leur rappeler, que le temps c’est du sable
Que se prendre au sérieux, jouer les vénérables
N’est guère différent que rouler sous la table.
Si nous versons notre encre, ce n’est jamais en vain
Juste pour rappeler, combien tout ça est vain.
C’est pourquoi nous rions et de tout et de rien
Il n’y a parmi nous de saints, ni de vauriens
Il faudrait à la fin que l’on comprenne bien
Que le club des zinzins, ne vous veut que du bien.
Par vos soins prévoyants leur nombre est redoublé
Que plein d’amour pour vous, d’horreur pour « l’hallali »
Un serment solennel par avance les lie »
De ne jamais céder, un pouce de terrain
À tout pisse-vinaigre, ni aux esprits chagrins
De ne point accabler les autres de venin
Mais toujours pour le moins, de leur tendre la main.
« Mais quelque noble ardeur dont ils puissent brûler
Peuvent-ils de leur « guide »venger seuls la querelle ?
Pour un si grand ouvrage, est-ce assez de leur zèle ? »
Douteriez vous monsieur du talent des zinzins
De leur motivation à me prêter la main ?
Ils répondent présents chaque fois qu’il le faut
Et ne m’ont à présent, eux jamais fait défaut.
Doutez-vous que « l’ennemi », au premier bruit semé
N’environne le temple et n’en brise les portes ?
Suffira-t-il contre eux de « vos pauvres zinzins »
Qui n’ayant « quant à eux que d’innocentes mains »
Ne savent que gémir « et crier à la lune
Et n’ont jamais versé que l’encre de leurs plumes ? »
Nous n’avons d’ennemis, et pas plus que de temple
Juste un rassemblement qui je crois nous ressemble
Et si nous critiquons parfois quelques semblables
C’est pour leur rappeler, que le temps c’est du sable
Que se prendre au sérieux, jouer les vénérables
N’est guère différent que rouler sous la table.
Si nous versons notre encre, ce n’est jamais en vain
Juste pour rappeler, combien tout ça est vain.
C’est pourquoi nous rions et de tout et de rien
Il n’y a parmi nous de saints, ni de vauriens
Il faudrait à la fin que l’on comprenne bien
Que le club des zinzins, ne vous veut que du bien.

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