En noir et blanc.
Publié le 03 août 2025
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Derrière les paroles qu’il veut réconfortantes
Derrière tous les rires qui sonnent autour de moi,
J’entrevois la menace qui demeure en attente.
Je ressens les dangers qui provoquent l’effroi.
Derrière le beau temps, je crains moi la tempête,
Je suis un intranquille qui se tient aux aguets
Un moment de bonheur, elle me gâte la fête.
Le temps ni la nature n’ont jamais de pitié.
Que cesse la douleur, s’estompe la menace.
De viles cicatrices que j’explore à l’envi
À cela rien n’y fait tant elles laissent de traces
De ces restes complices qui me gâchent la vie.
Il n’est point de lumière qui ne projette une ombre
Je vis en noir et blanc chaque moment qui passe
Il n’est point de clarté sans une part plus sombre
Il y a un peu de gris dans le moindre espace.
Je sais qu’à tout instant peut survenir le pire
Je ne souhaite sur moi voir peser son empire
Pas plus que sur les miens que j’aime à en mourir
C’est pourquoi je m’efforce de tout cela en rire.
Derrière tous les rires qui sonnent autour de moi,
J’entrevois la menace qui demeure en attente.
Je ressens les dangers qui provoquent l’effroi.
Derrière le beau temps, je crains moi la tempête,
Je suis un intranquille qui se tient aux aguets
Un moment de bonheur, elle me gâte la fête.
Le temps ni la nature n’ont jamais de pitié.
Que cesse la douleur, s’estompe la menace.
De viles cicatrices que j’explore à l’envi
À cela rien n’y fait tant elles laissent de traces
De ces restes complices qui me gâchent la vie.
Il n’est point de lumière qui ne projette une ombre
Je vis en noir et blanc chaque moment qui passe
Il n’est point de clarté sans une part plus sombre
Il y a un peu de gris dans le moindre espace.
Je sais qu’à tout instant peut survenir le pire
Je ne souhaite sur moi voir peser son empire
Pas plus que sur les miens que j’aime à en mourir
C’est pourquoi je m’efforce de tout cela en rire.

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