En harmonie
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
6 lecture
(0)
Hier je suis allé sur un flanc de montagne
Dans les genévriers et les grands pâturages
Avec quelques amis qui ce jour m’accompagnent
Face aux cimes enneigées sous un ciel sans nuage,
Pour tenter d’observer le vol des grands rapaces
Qui au milieu du jour y font de larges passes
J’y vis l’aigle royal, le botté, le milan
J’y vis les vautours fauves en bandes, inquiétants.
Un cadavre de vache et de son veau naissant
Aiguisait l’appétit de ces grands charognards
Qui durent eux aussi nous trouver effrayants
Alors que nous ne fûmes agités ni bavards.
La nature frémissante s’ouvrait au printemps
Les premières gentianes perçaient à nos pieds
De merles à plastrons passaient de temps en temps
Alouettes Lulu, grives draines chantaient.
Dans ce panorama ouvert et magnifique
Sous ce soleil, ce ciel l’effet était magique
Je me sentais en paix faisant partie du tout
Imprégné d’harmonie, j’en savourais le goût.
Dans les genévriers et les grands pâturages
Avec quelques amis qui ce jour m’accompagnent
Face aux cimes enneigées sous un ciel sans nuage,
Pour tenter d’observer le vol des grands rapaces
Qui au milieu du jour y font de larges passes
J’y vis l’aigle royal, le botté, le milan
J’y vis les vautours fauves en bandes, inquiétants.
Un cadavre de vache et de son veau naissant
Aiguisait l’appétit de ces grands charognards
Qui durent eux aussi nous trouver effrayants
Alors que nous ne fûmes agités ni bavards.
La nature frémissante s’ouvrait au printemps
Les premières gentianes perçaient à nos pieds
De merles à plastrons passaient de temps en temps
Alouettes Lulu, grives draines chantaient.
Dans ce panorama ouvert et magnifique
Sous ce soleil, ce ciel l’effet était magique
Je me sentais en paix faisant partie du tout
Imprégné d’harmonie, j’en savourais le goût.
Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.