En guise daphorismes
Publié le 03 août 2025
2 minutes de lecture
8 lecture
(0)
Naître est un début dont on sait tous la fin
Le temps n’est ni escroc, ni même aigrefin
Quand tout ce qu’il promet à la fin il le tient
Ne laissant dans nos mains que la vie qui nous vient.
Aimer est une chance mais sait-on à quel point
Quand tant d’êtres autour eux n’en reçoivent point
L’amour d’abord se donne, plutôt plus que moins
Combien ceux d’entre nous qui le comprennent, au moins ?
Le bonheur se cultive comme une denrée rare
Quand on sait oh combien la vie en est avare
Il faut donc le saisir et cela sans retard
Et bien le reconnaître avant qu’il soit trop tard.
L’ennui est bien souvent ce qu’il y a de mieux
Déjà il est bien rare qu’il fasse des envieux.
Il est parfois invite à s’attarder un peu
Pour regarder en soi et savoir ce qu’on veut.
Écrire c’est beaucoup se parler à soi même
En espérant un peu que d’autres sur ce thème
Arrivent à comprendre quel est bien le problème
A travers tous ces mots que fébriles l’on sème.
Rêver pour se construire d’autres réalités
Où l’on se plaît toujours à partir voyager
Rarement pour y vivre juste pour s’évader
D’un monde trop complexe pour bien l’appréhender.
Dominer son prochain pour lever tous ses doutes
Pour ne pas voir en soi ce que trop on redoute
De n’être après tout pas quelqu’un que l’on aime
Le pouvoir en cela est drogue souveraine.
Le temps n’est ni escroc, ni même aigrefin
Quand tout ce qu’il promet à la fin il le tient
Ne laissant dans nos mains que la vie qui nous vient.
Aimer est une chance mais sait-on à quel point
Quand tant d’êtres autour eux n’en reçoivent point
L’amour d’abord se donne, plutôt plus que moins
Combien ceux d’entre nous qui le comprennent, au moins ?
Le bonheur se cultive comme une denrée rare
Quand on sait oh combien la vie en est avare
Il faut donc le saisir et cela sans retard
Et bien le reconnaître avant qu’il soit trop tard.
L’ennui est bien souvent ce qu’il y a de mieux
Déjà il est bien rare qu’il fasse des envieux.
Il est parfois invite à s’attarder un peu
Pour regarder en soi et savoir ce qu’on veut.
Écrire c’est beaucoup se parler à soi même
En espérant un peu que d’autres sur ce thème
Arrivent à comprendre quel est bien le problème
A travers tous ces mots que fébriles l’on sème.
Rêver pour se construire d’autres réalités
Où l’on se plaît toujours à partir voyager
Rarement pour y vivre juste pour s’évader
D’un monde trop complexe pour bien l’appréhender.
Dominer son prochain pour lever tous ses doutes
Pour ne pas voir en soi ce que trop on redoute
De n’être après tout pas quelqu’un que l’on aime
Le pouvoir en cela est drogue souveraine.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.