En écho à Gérard Fretier et Chess Mec
Publié le 03 août 2025
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Un cri de poésie sans retenir son souffle
Pour retenir peut être chez l’autre un dernier souffle
Comme une belle page où l’on aimait écrire
Qui se voit déchirée par l’ultime soupir.
D’abord on n’y croit pas tant on sent leur présence
Tant ils ou elles sont vivantes en nos consciences
Puis monte la douleur qui envahit nos sens,
On voudrait leur parler, on se heurte à l’absence.
Le fauteuil familier qui accueillait leur sieste
Le jardin potager dont elle prenait grand soin
Le mouchoir en pochette dont il ornait sa veste
Ils sont là si présents partout dans chaque coin.
Une photo de fête ramène des sourires
Alors on se souvient de leurs blagues, de nos rires.
Un mot une expression, comme un tic de langage
Les voilà parmi nous, vois ils sont de passage.
Ils sont là dans nos cœurs présents à tous nos âges
On se dit qu’ils sont là, mais partis en voyage.
Nous irons bien aussi là-bas à notre tour
Tout pareil au soleil quand c’est la fin du jour.
Si aucun de nos pleurs ne noiera le chagrin
Pas plus qu’aucune peur n’empêche un tel destin,
Si rien ne comblera le grand vide qu’ils laissent
Si l’on est déchirés tant leur départ nous blesse
Nous nous consolerons avec tout cet amour
Dont ils nous ont nourris, et c’est à notre tour
De dire à tous ceux qui sont chers à nos cœurs,
Combien on les chérit, qu’ils font notre bonheur.
Pour retenir peut être chez l’autre un dernier souffle
Comme une belle page où l’on aimait écrire
Qui se voit déchirée par l’ultime soupir.
D’abord on n’y croit pas tant on sent leur présence
Tant ils ou elles sont vivantes en nos consciences
Puis monte la douleur qui envahit nos sens,
On voudrait leur parler, on se heurte à l’absence.
Le fauteuil familier qui accueillait leur sieste
Le jardin potager dont elle prenait grand soin
Le mouchoir en pochette dont il ornait sa veste
Ils sont là si présents partout dans chaque coin.
Une photo de fête ramène des sourires
Alors on se souvient de leurs blagues, de nos rires.
Un mot une expression, comme un tic de langage
Les voilà parmi nous, vois ils sont de passage.
Ils sont là dans nos cœurs présents à tous nos âges
On se dit qu’ils sont là, mais partis en voyage.
Nous irons bien aussi là-bas à notre tour
Tout pareil au soleil quand c’est la fin du jour.
Si aucun de nos pleurs ne noiera le chagrin
Pas plus qu’aucune peur n’empêche un tel destin,
Si rien ne comblera le grand vide qu’ils laissent
Si l’on est déchirés tant leur départ nous blesse
Nous nous consolerons avec tout cet amour
Dont ils nous ont nourris, et c’est à notre tour
De dire à tous ceux qui sont chers à nos cœurs,
Combien on les chérit, qu’ils font notre bonheur.

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