Éléments-terres.
Publié le 03 août 2025
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Comme il nous est offert depuis toujours à tous
Nous oublions souvent combien il est précieux
C’est un souffle vital pas assez à nos yeux
Mais pourquoi tout soudain, je te vois qui tousse ?
Comme elle nous est donnée, direct au robinet
Nous ne la voyons pas à sa juste valeur
Liquide salvateur depuis que l’on est né
Mais pourquoi tout soudain, j’entends aussi tes pleurs ?
Comme nous le foulons chaque jour sans merci
Du sol qui nous nourrit, nous ne voyons le prix
La terre nourricière dont nous dépendons tant
Mais pourquoi tout soudain, j’entends claquer tes dents ?
Comme nous en usons et à tous bouts de champs
Du feu, de l’énergie nous sommes dépendants
Nous en faisons excès au point qu’il nous détruit
Mais pourquoi tout soudain, j’entends aussi tes cris ?
Fils de l’eau et du vent, et enfants de la terre
Et apprentis sorciers de ce feu qu’on vénère
Les quatre éléments sont nos pères et nos mères
Nous ne sommes pour eux pas plus que vers de terre.
L’air nous le souillons, l’eau nous la polluons
La terre nous tuons, le feu ne contrôlons
Nous sommes des enfants ingrats et suicidaires
Comment se fait-il donc pourtant qu’ils nous tolèrent ?
Jusqu’à quand, les éléments, pourront encore se taire ?
Nous oublions souvent combien il est précieux
C’est un souffle vital pas assez à nos yeux
Mais pourquoi tout soudain, je te vois qui tousse ?
Comme elle nous est donnée, direct au robinet
Nous ne la voyons pas à sa juste valeur
Liquide salvateur depuis que l’on est né
Mais pourquoi tout soudain, j’entends aussi tes pleurs ?
Comme nous le foulons chaque jour sans merci
Du sol qui nous nourrit, nous ne voyons le prix
La terre nourricière dont nous dépendons tant
Mais pourquoi tout soudain, j’entends claquer tes dents ?
Comme nous en usons et à tous bouts de champs
Du feu, de l’énergie nous sommes dépendants
Nous en faisons excès au point qu’il nous détruit
Mais pourquoi tout soudain, j’entends aussi tes cris ?
Fils de l’eau et du vent, et enfants de la terre
Et apprentis sorciers de ce feu qu’on vénère
Les quatre éléments sont nos pères et nos mères
Nous ne sommes pour eux pas plus que vers de terre.
L’air nous le souillons, l’eau nous la polluons
La terre nous tuons, le feu ne contrôlons
Nous sommes des enfants ingrats et suicidaires
Comment se fait-il donc pourtant qu’ils nous tolèrent ?
Jusqu’à quand, les éléments, pourront encore se taire ?

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