Écoutez.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
9 lecture
(0)
J’admire tous ceux qui continuent à écrire
Contre vents et marée sans arrêter de rire
Choisissant d’ignorer le présent et le pire
Ne voulant nous parler que du bonheur à vivre.
Je n’ai pas ce pouvoir d’offrir un bouclier
Un écran, paravent aux horreurs publiées.
Elles pèsent sur moi, elles hantent ma voix
Elles exigent de moi, elles imposent leur loi.
Je cède donc ma plume, plus contraint que séduit
A une voix trop grave pour que l’on en sourit.
Elle dit entendez, au delà de l’effroi
Il vous faudra changer, et pas du bout des doigts.
Elle clame aux humains, c’est assez cette fois
Voilà ce qui arrive quand on se fout de moi.
Des virus comme ça, j’en ai des tas en moi
Que je vous enverrai, si vous n’écoutez pas.
Vous viviez comme d’autres dans un vrai paradis
Occupés à vous battre pour un maravédis
Où plutôt que de jouir de votre intelligence
Tout devint ennemi, et jusqu’à vous, je pense.
Écoutez car c’est là l’ultime mise en garde
Que vous changiez de cap, cela seul vous regarde.
Je sais bien quant à moi, ce qu’il convient de faire
Si vous continuer à préférer l’enfer.
Contre vents et marée sans arrêter de rire
Choisissant d’ignorer le présent et le pire
Ne voulant nous parler que du bonheur à vivre.
Je n’ai pas ce pouvoir d’offrir un bouclier
Un écran, paravent aux horreurs publiées.
Elles pèsent sur moi, elles hantent ma voix
Elles exigent de moi, elles imposent leur loi.
Je cède donc ma plume, plus contraint que séduit
A une voix trop grave pour que l’on en sourit.
Elle dit entendez, au delà de l’effroi
Il vous faudra changer, et pas du bout des doigts.
Elle clame aux humains, c’est assez cette fois
Voilà ce qui arrive quand on se fout de moi.
Des virus comme ça, j’en ai des tas en moi
Que je vous enverrai, si vous n’écoutez pas.
Vous viviez comme d’autres dans un vrai paradis
Occupés à vous battre pour un maravédis
Où plutôt que de jouir de votre intelligence
Tout devint ennemi, et jusqu’à vous, je pense.
Écoutez car c’est là l’ultime mise en garde
Que vous changiez de cap, cela seul vous regarde.
Je sais bien quant à moi, ce qu’il convient de faire
Si vous continuer à préférer l’enfer.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.