Douces nuits.
Publié le 03 août 2025
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Non ce n’est pas la nuit qui porte nos angoisses
Mais bien l’obscurité, synonyme de poisse.
Car la nuit étoilée est un enchantement
Quand sous la Voie lactée, de ce ciel on s’éprend.
Car lorsque la lumière d’eux a pris congé
Alors bien des vivants se sentent en danger.
Tous leurs sens aux aguets palpent les alentours
Lorsque autour d’eux, il fait un noir de four.
Sans la moindre clarté alors plus de repères
Le moindre bruit y prend des allures inquiètes
Et le cœur bat plus fort, et la gorge se serre
Et on ne se sent plus très bien dans son assiette.
Non ce n’est pas la nuit, mais les profonds ténèbres
Qui confèrent au monde une teinte funèbre
La nuit elle est propice à un calme repos
Elle sait être délices, quand c’est peau contre peau.
Ne dites point de mal de ces nuits de velours
Qui accueillent aimables, le sommeil ou l’amour
Lors ne vous trompez plus, le danger est ailleurs
Dans cette obscurité qui réveille les peurs.
Mais bien l’obscurité, synonyme de poisse.
Car la nuit étoilée est un enchantement
Quand sous la Voie lactée, de ce ciel on s’éprend.
Car lorsque la lumière d’eux a pris congé
Alors bien des vivants se sentent en danger.
Tous leurs sens aux aguets palpent les alentours
Lorsque autour d’eux, il fait un noir de four.
Sans la moindre clarté alors plus de repères
Le moindre bruit y prend des allures inquiètes
Et le cœur bat plus fort, et la gorge se serre
Et on ne se sent plus très bien dans son assiette.
Non ce n’est pas la nuit, mais les profonds ténèbres
Qui confèrent au monde une teinte funèbre
La nuit elle est propice à un calme repos
Elle sait être délices, quand c’est peau contre peau.
Ne dites point de mal de ces nuits de velours
Qui accueillent aimables, le sommeil ou l’amour
Lors ne vous trompez plus, le danger est ailleurs
Dans cette obscurité qui réveille les peurs.

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