Donner du sens.
Publié le 03 août 2025
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Longtemps l’homme a marché sur mille et une sentes
Laissant ses idées suivre les chemins de leur choix
Longtemps il a pensé par son allure lente
Qu’il pourrait emprunter les meilleures des voies.
Et plus il avançait plus il avait de doutes
A travers ces regards qu’il posait sur sa route.
Partout les gens étaient au fond bien tous les mêmes
Travaillés au dedans par les mêmes problèmes.
Alors il s’arrêta pour se poser un peu
Il cessa ses voyages pour réfléchir au mieux
Dans sa petite chambre entre ses quatre murs
Il était moins troublé qu’au sein de la nature.
Qu’avait-il vu du monde sinon mille merveilles
Celles de la nature à nulle autre pareille ?
Qu’avait-il vu des hommes des mœurs cruelles
Et cette faculté à se chercher querelle ?
Lui partageait toujours les fruits de ses cueillettes
En échange du pain que certains lui offraient.
Il n’était lui qu’amour dans son cœur, dans sa tête
Et s’étonnait toujours que l’étranger effraie.
Des mois il médita au creux d’un grand silence
Il délivra des mots griffonnés sur des pages
Pour tracer les récits de tant de voyages
Pour tenter de comprendre sa propre existence.
Ce qu’il avait appris au cours de ses errances
N’était que goutte d’eau d’un savoir plus immense.
Ce qu’il avait compris de toute cette danse
C’est que l’amour lui seul lui donnait quelque sens.
Laissant ses idées suivre les chemins de leur choix
Longtemps il a pensé par son allure lente
Qu’il pourrait emprunter les meilleures des voies.
Et plus il avançait plus il avait de doutes
A travers ces regards qu’il posait sur sa route.
Partout les gens étaient au fond bien tous les mêmes
Travaillés au dedans par les mêmes problèmes.
Alors il s’arrêta pour se poser un peu
Il cessa ses voyages pour réfléchir au mieux
Dans sa petite chambre entre ses quatre murs
Il était moins troublé qu’au sein de la nature.
Qu’avait-il vu du monde sinon mille merveilles
Celles de la nature à nulle autre pareille ?
Qu’avait-il vu des hommes des mœurs cruelles
Et cette faculté à se chercher querelle ?
Lui partageait toujours les fruits de ses cueillettes
En échange du pain que certains lui offraient.
Il n’était lui qu’amour dans son cœur, dans sa tête
Et s’étonnait toujours que l’étranger effraie.
Des mois il médita au creux d’un grand silence
Il délivra des mots griffonnés sur des pages
Pour tracer les récits de tant de voyages
Pour tenter de comprendre sa propre existence.
Ce qu’il avait appris au cours de ses errances
N’était que goutte d’eau d’un savoir plus immense.
Ce qu’il avait compris de toute cette danse
C’est que l’amour lui seul lui donnait quelque sens.

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