Dix ans.
Publié le 03 août 2025
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Dans la lumière claire des cailloux du chemin
Sous les lueurs de lune, quand tu as pris ma main.
J’aurai voulu alors que s’arrête le temps
Pour savourer longtemps ce moment si charmant.
Je n’avais que dix ans, toi je crois bien neuf ans
Nos parents nous laissaient jouer entre enfants.
Comme nos cœurs battaient sous nos constants efforts
Je sais bien que les nôtres battaient un peu plus fort.
Les autres nous chantaient, oh ils sont amoureux !
Nous ne les écoutions, car les yeux dans les yeux.
Nous savions, sans comprendre, qu’entre nous c’était bien
Que nous n’avions besoin d’autre chose, de rien.
Sans besoin de grands mots, nous étions si complices
La compagnie de l’autre, nous était un délice.
Sans trop savoir pourquoi, c’était une évidence
Nous n’avions de questions, dans nos jeunes existences.
Je n’avais que dix ans, toi je crois bien neuf ansNos parents nous laissaient jouer entre enfants.Comme nos cœurs battaient sous nos constants effortsJe sais bien que les nôtres battaient un peu plus fort.
Je n’avais que dix ans, toi je crois bien neuf ans
Nos parents nous laissaient jouer entre enfants.
Comme nos cœurs battaient sous nos constants efforts
Je sais bien que les nôtres battaient un peu plus fort.
Il se passait en nous, des choses bien étranges
Des sensations troublantes, tandis que nos corps changent.
Nous restions immobiles, écoutant la chanson
De nos cœurs qui battaient alors à l’unisson.
Et toujours à coup sûr, nous éclations de rire
Pour dissiper l’instant et nous allions courir,
Pour que nos corps exultent de familiers efforts
C’est ainsi que enfants, nous trouvions nos accords.
Je n’avais que dix ans, toi je crois bien neuf ansNos parents nous laissaient jouer entre enfants.Comme nos cœurs battaient sous nos constants effortsJe sais bien que les nôtres battaient un peu plus fort.
Je n’avais que dix ans, toi je crois bien neuf ans
Nos parents nous laissaient jouer entre enfants.
Comme nos cœurs battaient sous nos constants efforts
Je sais bien que les nôtres battaient un peu plus fort.
Je n’ai rien oublié de ces moments de grâce
J’en garde au fond de moi, les plus précieuses traces.
Je n’ai pas retrouvé semblables sensations
Qui diffusaient en moi d’aussi douces émotions.
Sous les lueurs de lune, quand tu as pris ma main.
J’aurai voulu alors que s’arrête le temps
Pour savourer longtemps ce moment si charmant.
Je n’avais que dix ans, toi je crois bien neuf ans
Nos parents nous laissaient jouer entre enfants.
Comme nos cœurs battaient sous nos constants efforts
Je sais bien que les nôtres battaient un peu plus fort.
Les autres nous chantaient, oh ils sont amoureux !
Nous ne les écoutions, car les yeux dans les yeux.
Nous savions, sans comprendre, qu’entre nous c’était bien
Que nous n’avions besoin d’autre chose, de rien.
Sans besoin de grands mots, nous étions si complices
La compagnie de l’autre, nous était un délice.
Sans trop savoir pourquoi, c’était une évidence
Nous n’avions de questions, dans nos jeunes existences.
Je n’avais que dix ans, toi je crois bien neuf ansNos parents nous laissaient jouer entre enfants.Comme nos cœurs battaient sous nos constants effortsJe sais bien que les nôtres battaient un peu plus fort.
Je n’avais que dix ans, toi je crois bien neuf ans
Nos parents nous laissaient jouer entre enfants.
Comme nos cœurs battaient sous nos constants efforts
Je sais bien que les nôtres battaient un peu plus fort.
Il se passait en nous, des choses bien étranges
Des sensations troublantes, tandis que nos corps changent.
Nous restions immobiles, écoutant la chanson
De nos cœurs qui battaient alors à l’unisson.
Et toujours à coup sûr, nous éclations de rire
Pour dissiper l’instant et nous allions courir,
Pour que nos corps exultent de familiers efforts
C’est ainsi que enfants, nous trouvions nos accords.
Je n’avais que dix ans, toi je crois bien neuf ansNos parents nous laissaient jouer entre enfants.Comme nos cœurs battaient sous nos constants effortsJe sais bien que les nôtres battaient un peu plus fort.
Je n’avais que dix ans, toi je crois bien neuf ans
Nos parents nous laissaient jouer entre enfants.
Comme nos cœurs battaient sous nos constants efforts
Je sais bien que les nôtres battaient un peu plus fort.
Je n’ai rien oublié de ces moments de grâce
J’en garde au fond de moi, les plus précieuses traces.
Je n’ai pas retrouvé semblables sensations
Qui diffusaient en moi d’aussi douces émotions.

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