Désillusion.

Désillusion cruelle les soi-disants progrès 
Qu’on devrait aux machines qui vont nous libérer.
Elles vous soulagerons des gestes trop pénibles 
Elles obéiront en esclaves serviles.

Avec vous aux commandes de robots insensibles
La vie de travailleur deviendra moins pénible !
Mais la réalité est trop souvent contraire
Lorsque c’est la machine qui ce qui est à faire.

L’homme n’est alors plus qu’un simple accessoire 
Et son intelligence mise sous l’éteignoir.
L’homme un simple outil même plus essentiel
D’une intelligence qu’on dit artificielle.

Créations diaboliques aux mains des sans scrupules
Aux mains de ces puissants qui sont de vrais crapules 
Indifférents à tout sauf accroître leurs gains 
Ils avancent sournois en influant demain.

Cessons d’encourager en pur consommateur 
Ces soit disants progrès qui nous touchent au cœur c’est vous, c’est moi bientôt qui seront tous de trop
Quand la machine aura remplacé les cerveaux.