Dans les couloirs de solitude
Publié le 03 août 2025
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Dans les couloirs de solitude
Où nulle porte ne s’entrouvre
Ou les sentiers de l’habitude
Où plus rien las ne se découvre
Des vies se perdent à se chercher
Des vies se passent à se gâcher
Dans les déserts de l’affection
Où nulle main jamais se tend
Dans la routine qui s’installe
D’où l’aventure hélas détale
Des vies stériles se gaspillent
Ou inutiles, se grapillent.
Dans les absences répétées
Où l’amour s’est trop oublié
Dans les présences trop factices
Qui demeurent des artifices
Des vies se ruinent à attendre
Des vies s’assèchent à se rendre.
Dans la douleur de chaque jour
Où les corps souffrent sans retour
Dans l’impuissance à en jouir
Où se perd toute envie de vivre
Des vies se tordent sans répit
Des vies finissent sans un cri.
Où nulle porte ne s’entrouvre
Ou les sentiers de l’habitude
Où plus rien las ne se découvre
Des vies se perdent à se chercher
Des vies se passent à se gâcher
Dans les déserts de l’affection
Où nulle main jamais se tend
Dans la routine qui s’installe
D’où l’aventure hélas détale
Des vies stériles se gaspillent
Ou inutiles, se grapillent.
Dans les absences répétées
Où l’amour s’est trop oublié
Dans les présences trop factices
Qui demeurent des artifices
Des vies se ruinent à attendre
Des vies s’assèchent à se rendre.
Dans la douleur de chaque jour
Où les corps souffrent sans retour
Dans l’impuissance à en jouir
Où se perd toute envie de vivre
Des vies se tordent sans répit
Des vies finissent sans un cri.

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