Confortable.
Publié le 03 août 2025
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Quoi de plus confortable que la douce chaleur
Qu’on trouve auprès d’un poêle qui chante à demi-mot
Ou celle qu’on ressent quand on se couche au cœur
D’un lit un peu douillet garni d’un brasero.
Point celle d’un grand feu qui tourne à l’incendie
Dont on sait qu’il ne laisse que cendres refroidies
Mais celle que dispense un soleil généreux
A l’ombre d’un platane où l’on somnole heureux.
Point celle des passions qui virent au funeste
Quand seule la dépression est tout ce qu’il en reste.
Mais celle des caresses qu’une main attendrie
Promène sur un corps qui en est engourdi.
Quoi de plus agréable que cette onde propice
Qui posée sur la peau s’y répand ou s’y glisse.
S’ouvriront sans délai les pores de la peau
Pour boire avec délice ce délicat cadeau.
Qu’on trouve auprès d’un poêle qui chante à demi-mot
Ou celle qu’on ressent quand on se couche au cœur
D’un lit un peu douillet garni d’un brasero.
Point celle d’un grand feu qui tourne à l’incendie
Dont on sait qu’il ne laisse que cendres refroidies
Mais celle que dispense un soleil généreux
A l’ombre d’un platane où l’on somnole heureux.
Point celle des passions qui virent au funeste
Quand seule la dépression est tout ce qu’il en reste.
Mais celle des caresses qu’une main attendrie
Promène sur un corps qui en est engourdi.
Quoi de plus agréable que cette onde propice
Qui posée sur la peau s’y répand ou s’y glisse.
S’ouvriront sans délai les pores de la peau
Pour boire avec délice ce délicat cadeau.

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