Comme un son susurré...
Publié le 03 août 2025
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Comme un frisson fébrile sur un calme plan d’eau
Comme un soupçon de glace, pris dans le sable chaud
Comme un son susurré, au milieu du silence
Comme un pas esquissé, sur un simple air de danse
Tu as effleuré mon âme, lors qu’elle est assoiffée
Tu as ébranlé mon coeur, qui était desséché
Tu as soulevé le plomb, quand tout était muet
Tu as créé l’émotion, quand je ne l’attendais.
Comme naît une image, au milieu du néant
Comme viendra un mot, aux lèvres de l’enfant
Comme surgit la paix, à la fin d’une guerre
Comme on peut voir des fées, là où il n’y en a guère
Tu m’es donc apparue, belle comme un mirage
Tu étais l’ingénue, promise à mon mariage
Tu es cette évidence, que revêt l’innocence
Tu es ce beau cadeau, que fait la providence.
Comme frappe un vers, au milieu d’un poème
Comme tinte une cloche, au milieu d’un troupeau
Comme est la couleur, qui surgit du tableau
Comme crée la surprise, d’entendre un je t’aime
Tu m’as offert ton coeur mais l’ai-je mérité
Tu m’as donné ton corps, saurai-je l’honorer
Tu m’as ouvert ton âme, en suis- je assez digne
Tu es venue à moi, en femme magnanime.
Comme un soupçon de glace, pris dans le sable chaud
Comme un son susurré, au milieu du silence
Comme un pas esquissé, sur un simple air de danse
Tu as effleuré mon âme, lors qu’elle est assoiffée
Tu as ébranlé mon coeur, qui était desséché
Tu as soulevé le plomb, quand tout était muet
Tu as créé l’émotion, quand je ne l’attendais.
Comme naît une image, au milieu du néant
Comme viendra un mot, aux lèvres de l’enfant
Comme surgit la paix, à la fin d’une guerre
Comme on peut voir des fées, là où il n’y en a guère
Tu m’es donc apparue, belle comme un mirage
Tu étais l’ingénue, promise à mon mariage
Tu es cette évidence, que revêt l’innocence
Tu es ce beau cadeau, que fait la providence.
Comme frappe un vers, au milieu d’un poème
Comme tinte une cloche, au milieu d’un troupeau
Comme est la couleur, qui surgit du tableau
Comme crée la surprise, d’entendre un je t’aime
Tu m’as offert ton coeur mais l’ai-je mérité
Tu m’as donné ton corps, saurai-je l’honorer
Tu m’as ouvert ton âme, en suis- je assez digne
Tu es venue à moi, en femme magnanime.

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