Ce chemin est le nôtre
Publié le 03 août 2025
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La couleur de tes yeux m’emmène vers l’ailleurs
Et le coin de tes lèvres est un lieu de mystères
Les lignes de ton front, des mots qu’on ne peut taire
Tu es le seul trésor dont je suis l’orpailleur.
Qu’importe qui la femme, qu’importe qui le mâle
Quand les cœurs et les corps connaissent tant de l’autre
Nous apprécions ensemble notre part animale
Et tout ce qui en nous tend vers même idéal.
Le chemin que l’on suit n’est jamais que le nôtre.
Un bel entrain
Quand elle partait en ballade
J’admirais fort son bel entrain
Ce n’était pas des promenades
Que l’on faisait le mal au rein.
Elle s’habillait de pied en cap
Pour n’être jamais en défaut :
Tout pouvait être un handicap,
Elle tenait à garder le cap,
Et pour marcher, faut ce qu’il faut !
Moment paisible
Quand bien calée dans un fauteuil
Elle s’adonne à la lecture
C’est d’un regard que je la cueille.
L’admirer est dans ma nature.
Moment paisible où tous les deux
Sans dire un mot, mais on savoure
La vie simple qu’on mène à deux
Qui nous rend souvent même heureux
Et qu’embellit autant l’amour.
Et le coin de tes lèvres est un lieu de mystères
Les lignes de ton front, des mots qu’on ne peut taire
Tu es le seul trésor dont je suis l’orpailleur.
Qu’importe qui la femme, qu’importe qui le mâle
Quand les cœurs et les corps connaissent tant de l’autre
Nous apprécions ensemble notre part animale
Et tout ce qui en nous tend vers même idéal.
Le chemin que l’on suit n’est jamais que le nôtre.
Un bel entrain
Quand elle partait en ballade
J’admirais fort son bel entrain
Ce n’était pas des promenades
Que l’on faisait le mal au rein.
Elle s’habillait de pied en cap
Pour n’être jamais en défaut :
Tout pouvait être un handicap,
Elle tenait à garder le cap,
Et pour marcher, faut ce qu’il faut !
Moment paisible
Quand bien calée dans un fauteuil
Elle s’adonne à la lecture
C’est d’un regard que je la cueille.
L’admirer est dans ma nature.
Moment paisible où tous les deux
Sans dire un mot, mais on savoure
La vie simple qu’on mène à deux
Qui nous rend souvent même heureux
Et qu’embellit autant l’amour.

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