À qui le jour venu la fera-t-on danser
La belle carmagnole aux guignols dépassés ?
Qui donc ne pourra plus de là-haut jacasser
Avec l’outrecuidance d’un roi nu du passé ?
Restons unis le temps que passe cette vague
Avant d’interroger tous ces gens qui divaguent
Qui nous ont dit un jour tout va bien citoyens
Sans même s’inquiéter du manque de moyens !
Certes on sait la vengeance qu’elle ne sert à rien
Pour cette triste engeance, la justice au moins.
Quand il nous dit que tout sera bien fait demain
Quand il prépare en douce mauvais coups en sous-main.
Nous les ferons danser ces neo-libéraux
Ceux qui nous ont lavé sans arrêt le cerveau
En nous laissant accroire aux vertus du marché
En bradant le public aux rapaces empressés.
Il n’a en rien changé leur brillant chef de file
À coup de beaux discours chaque fois il enfile
De fausses vérités pour mieux s’exonérer
Des erreurs répétées qu’il nous a imposées.
Une froide colère m’envahit désormais
Je ne suis pas le seul à dire plus jamais.
Plus jamais ne croirais à toutes ces sornettes
Débarrassez moi donc des tristes marionnettes !
Que le peuple reprenne tout son pouvoir volé
Par tous ces tristes sires toujours bien cravatés
Qu’il décide enfin ce qui est bon pour lui
C’est le cri que je veux vous lancer aujourd’hui !
La belle carmagnole aux guignols dépassés ?
Qui donc ne pourra plus de là-haut jacasser
Avec l’outrecuidance d’un roi nu du passé ?
Restons unis le temps que passe cette vague
Avant d’interroger tous ces gens qui divaguent
Qui nous ont dit un jour tout va bien citoyens
Sans même s’inquiéter du manque de moyens !
Certes on sait la vengeance qu’elle ne sert à rien
Pour cette triste engeance, la justice au moins.
Quand il nous dit que tout sera bien fait demain
Quand il prépare en douce mauvais coups en sous-main.
Nous les ferons danser ces neo-libéraux
Ceux qui nous ont lavé sans arrêt le cerveau
En nous laissant accroire aux vertus du marché
En bradant le public aux rapaces empressés.
Il n’a en rien changé leur brillant chef de file
À coup de beaux discours chaque fois il enfile
De fausses vérités pour mieux s’exonérer
Des erreurs répétées qu’il nous a imposées.
Une froide colère m’envahit désormais
Je ne suis pas le seul à dire plus jamais.
Plus jamais ne croirais à toutes ces sornettes
Débarrassez moi donc des tristes marionnettes !
Que le peuple reprenne tout son pouvoir volé
Par tous ces tristes sires toujours bien cravatés
Qu’il décide enfin ce qui est bon pour lui
C’est le cri que je veux vous lancer aujourd’hui !

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