Attention, Second degré !
Publié le 03 août 2025
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Putains de gilets jaunes comme vous emmerdez
Tous ces bourgeois confits dans tous leurs préjugés
Laissez-les donc tranquilles ils veulent profiter
Des années qui leur restent loin de vos vérités.
Enfoirés de vous autres gilets jaunes obstinés
À faire reconnaître qu’ils se sont bien plantés
Ils vous aiment dociles et surtout affairés
À régler leurs problèmes sans trop rien exiger.
Allez-vous faire voir chez les grecs gilets jaunes
Ils ont bien essayé mais chez eux ça déconne
Ils ont osé braver le monde de la finance
Sont aujourd’hui réduit à stricte abstinence.
Regagnez vos pénates de citoyens serviles
Afin que pour nous autres la vie soit plus facile
Croyez-vous pauvres cons à cette illusion
Que vous pourrez franchir la barre des élections.
Arrêtez tout de suite ces vaines agitations
On ne voit que violences à la télévision
Qu’importe après tout vos vilaines blessures
Ça a toujours été du peuple l’aventure.
Putains de gilets jaunes on aura votre peau
Il faudra bien qu’un jour vous preniez du repos
On va vous écœurer jusqu’à ce que vous cédiez
Nous on gagne du temps à bien tergiverser.
Vous maudits gilets jaunes vous êtes des pustules
Vilaine maladie ne fait pas qu’on recule
On ira jusqu’au bout de tous nos grands projets
Vous n’êtes après tout pour nous que des sujets.
Tous ces bourgeois confits dans tous leurs préjugés
Laissez-les donc tranquilles ils veulent profiter
Des années qui leur restent loin de vos vérités.
Enfoirés de vous autres gilets jaunes obstinés
À faire reconnaître qu’ils se sont bien plantés
Ils vous aiment dociles et surtout affairés
À régler leurs problèmes sans trop rien exiger.
Allez-vous faire voir chez les grecs gilets jaunes
Ils ont bien essayé mais chez eux ça déconne
Ils ont osé braver le monde de la finance
Sont aujourd’hui réduit à stricte abstinence.
Regagnez vos pénates de citoyens serviles
Afin que pour nous autres la vie soit plus facile
Croyez-vous pauvres cons à cette illusion
Que vous pourrez franchir la barre des élections.
Arrêtez tout de suite ces vaines agitations
On ne voit que violences à la télévision
Qu’importe après tout vos vilaines blessures
Ça a toujours été du peuple l’aventure.
Putains de gilets jaunes on aura votre peau
Il faudra bien qu’un jour vous preniez du repos
On va vous écœurer jusqu’à ce que vous cédiez
Nous on gagne du temps à bien tergiverser.
Vous maudits gilets jaunes vous êtes des pustules
Vilaine maladie ne fait pas qu’on recule
On ira jusqu’au bout de tous nos grands projets
Vous n’êtes après tout pour nous que des sujets.

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